Thursday, January 24, 2013


Bonjour !

Me revoilà avec moult aventures à vous raconter !
Alors : après San Pedro de Atacama et avant ma cavalcade cowboyesque à tupiza, je suis passée par Uyuni, le grand salar de Bolivie.

Le Salar d'Uyuni


De San pedro, nous fumes 5 personnes (un couple d'argentins, un espagnol, une française et moi-même, autant dire que j'ai eu l'occasion de mettre à profit mes incroyable compétences linguistiques...) à partir en mini-bus vers la frontière bolivienne. Côté Chili, pas de problème, côté bolivien je suis tombé sur un douanier complètement bourré qui m'a dit qu'il allait me donner un visa de 3 mois pour que j'ai le temps de me trouver un mari bolivien, petite blague qu'il a ponctué de rires gras (type homme saoul) avant d'apposer le précieux tampon au milieu d'autres tampons... J'ai rien dit, j'ai vite récupéré mon passeport en souriant (genre « mais oui mon brave, tu es drôle ! Ton humour est fin et et spirituel, si seulement tous les hommes étaient comme toi quel monde merveilleux ce serait ! »). Puis nous avons transféré nos bagages dans une jeep et sommes parti vers le Salar, en s'arrêtant pour voir des lagunes et un cimetière de trains au passage.
La Salar était impressionnant : 2000 Km² de sel blanc, propice au photos de perspective dont je vous donne ici un échantillon.

Je saute dans la bière: le bonheur!



C'est un pêu raté, on était pas des pros là...

La gratuité des soins pour plus d'équité!

Oooooh! C'est bôôôô!

je suis la dernière...


Tupiza


Je vais pas m'étaler ici parce que vous avez eu une vidéo de mes exploits chevalins à Tupiza mais sachez juste qu'après Uyuni j'ai pris un bus local grâce auquel j'ai frôlé la mort pendant plus de 7h pour atteindre cette petite ville du sud. Le bus allait tout simplement très vite sur une route toute étroite en bordure de falaise. J'ai eu quelques sueurs froides mais les paysages valaient le coup !
Tiens, j'en profite pour caler l'anecdote des chaussures, afin que vous ayez du matériau solide dans le cas où vous devriez prouver à qq1 à quel point je suis maline... 
J'ai donné mes chaussures à réparer à un cordonnier à Tupiza. Seul dans sa cellule sombre (et puis en plus il ressemble vraiment à Evo Morales!!), il me dit de revenir à 17h. Mais comme je suis dans ma bulle, j'oublie et j'arrive à 19h et c'est fermé. Comme aucun stress ne peut m'atteindre, je me dis 'bah tant pis, je vais les récuperer demain matin juste avant de partir pour mes deux jours à cheval » et repars avec bonhommie (et mes tapettes aux pieds) vers mon hostel. Le lendemain, je prépare mon sac pour ma cavalcade, prends une douche, mon petit-dèj et tout et tout et pars chercher mes chaussures sauf que... … On est dimanche !!!! HAAAAAA !!!! J'avais quand même un espoir car une voisine m'avait dit que parfois il venait le dimanche, mais comme dit la chanson : « j'ai attendu, attendu, il n'est jamais venu, laï laï laï laï ! »
Au final j'ai du repousser ma chevauchée d'une journée... LE POIS CHICHE !!!


Potosi


Après Tupiza et avec un corps endolori (des orteils à la racine des cheveux) parce que 2 jours à cheval ça vous travaille le corps, j'ai repris le bus direction Potosi, la ville des mineurs. Bon, cette ville est classée au patrimoine de l'Unesco mais franchement elle m'a déprimé. Elle est perchée en altitude (du coup on respire pas très bien) et elle est dominée par le Cerro Rico, cette montagne de couleur marron/bleue particulière qui renferme en son sein des trésors de minéraux. La principale « attraction » de cette ville, pour les touristes que nous sommes (bah oui, parce que vous voyagez avec moi en quelques sortes!), c'est de visiter les mines d'argent encore en activité dans cette montagne. Et hop ! Me voilà toute équipée comme un mineur, ou comme les nains dans Blanche-Neige qui, soit dit en passant, n'a pas fait beaucoup pour la cause de cette profession ardue.
Donc, avec mon « déguisement » sur le dos, je pars dans les entrailles du Cerro... C'est étouffant, on respire des tonnes de poussière (très dense!) et des effluves de produits chimiques/toxiques, c'est très exigu, du coup y'en a qui ressortent avec des crises d'angoisse ou de claustrophobie ou bien les deux, ou bien c'est la même chose, je sais pas. On marche les trois quarts du temps accroupis ou pliés en deux (tiens, ça m'a rappelé les vendanges...) dans la boue et si on éteint sa lampe frontale on est dans le noir total. Au final, c'est très intéressant à voir, on comprend la vie des mineurs, le fonctionnement de la mine et les « traditions souterraines » mais j'étais contente que ça se finisse et je ne pense pas le refaire volontairement.

Je suis prête...

Holala, quel le vie quand même...

Je souris mais c'est exigu...

Le Tio! Le Dieu de la mine! Il me fait flipper, déjà que j'étais pas bien à l'aise...

Pas facile de respirer...


La Paz


Après Potosi, je voulais voir Sucre (la capitale avec de magnifiques bâtiments coloniaux) et Santa Cruz, mais le temps commençant à se faire court et, comme vous l'aurez peut-être compris à travers mes récits, je préfère souffrir dans la jungle et me perdre dans les déserts que de prendre des photos de belles maisons dans les villes... Au grand désespoir de mon père qui menace de me déshériter si je ne prends pas plus de temps pour découvrir les lieux historiques et autres villes de renom. Bref, je plaisante, papounet ne veut pas me déshériter (que justice soit faite!) et de toute façon je n'ai aucune vue sur ses biens, si ce n'est peut-être un bout de terrain à Vals pour y accrocher mon hamac lors de mes escales en France...;-)
Bon, où j'en étais... Le truc c'est qu'aujourd'hui je suis à Rurrenabaque et c'est journée d'élections locales : du coup tout (mais vraiment tout, sauf les hôtels) est fermé, ya rien à faire et il pleut... Alors c'est journée Blog et bouquin, voilà... J'ai 24h pour écrire un article, ce sera peut-être le plus long de tout ce blog, pas parce que les sujets sont plus intéressant mais parce que j'ai rien de mieux à faire.
Tiens, d'ailleurs, par exemple, je m'en vais maintenant vous raconter une anecdote de mon voyage en bus entre Potosi et La Paz. Cette anecdote ne sert à rien (mais c'est tant mieux, ce qui est inutile est bien plus intéressant, quelqu'un a-t-il déjà vu de l'art utile ? L'art est inutile, mon blog est inutile, donc mon blog est de l'art ! Quoi ? Ça marche pas ? Pfff... Bon, ok, c'est juste inutile ET in-artistique, le néant total... Alors, vous voulez quand même la lire cette anecdote de merde oui ou non ???)
Je sais pas pourquoi je pose la question, comme si on était en démocratie sur ce blog ! Non mais oh ! Vous vous croyez où là !! Je suis toute puissante sur ce blog !!! Hégémonique, omnipotente, omnisciente !! HAHAHAHA !!! (rire satanique!)
Aaaah... je commets une erreur de style là (oui, ce blog est stylé, je décide!), j'aurais dû glisser l'anecdote innocemment au milieu d'un paragraphe au lieu de l'annoncer comme ça en grandes pompes, maintenant vous attendez quelque chose alors que non...
Bon, cette fois-ci j'arrête, je décide de tout mais je m'excuse quand même parce que sans vous ça servirait à rien d'écrire ce blog, j'ai mon journal perso pour ça.
Donc, après Potosi, je décide de prendre le bus pour La Paz histoire de faire la « route de la mort » (cf. plus tard dans le blog, càd après l'anecdote foireuse). Mais je suis un peu fatiguée après l 'histoire de la mine alors je me dis : « merdouille ! Je vais payer 4€ de plus est prendre un bus luxueux avec des sièges/lits super confortables pour faire le trajet de nuit. Je prends donc mon ticket (12€, aïe, aïe, aïe !) et pars prendre mon bus à 21h au terminal. Je m'installe à mon siège-lit, extra large, super confortable, je souris intérieurement en regardant mes voisins, la haute-bourgeoisie bolivienne avec ses sacs de voyages louis Vuitton et ses attachés-cases. Et là surprise, je n'avais qu'effleuré la luxuosité de la compagnie ! Hohoho ! Ce n'était que la partie émergée de l'iceberg ! Car, à 5 minute du départ, une femme en tailleur noir monte dans le bus avec un plateau de flûtes aux bordures saupoudrée de neige de coco ! Elle est suivi d'un homme en costume cravate transportant de même un plateau fournis de biscuits secs. Haaa ! Oui !!! ça y est, nous y voilà, le luxe du luxe, le service 5 étoiles, les sièges confortables, la clim et les DVD c'est du pâté pour chat à côté de ça !!! Car oui, la vraie définition du luxe c'est ça : la flûte de Champomy et le boudoir au sucre glace !!! Mais oui messieurs dames, dans mon « fauteuil » je sirote ma coupe en léchouillant tant bien que mal les copeaux de coco (je sais pas pourquoi il font ça pour les cocktails, c'est pas pratique, ça colle et ça tombe sur le T-shirt) et je croque dans mon boudoir avec plaisir ! Nous avons enfin atteint le sommet du luxe !!! Et ça ne s'arrête pas là, le manager de la compagnie monte dans le bus, lui aussi avec sa flûte de Champomy et il entame alors un discours plein d'émotion et de sincérité : remerciements aux clients pour leur confiance, promesse d'en faire toujours plus pour le confort et la sécurité des passagers, etc. Et nous avons tous trinqué à sa santé avant qu'un passager, le genre qui aime bien s'entendre parler en public, prenne la parole pour remercier le manager, la compagnie et tout son personnel pour le service de qualité, tout en assurant le manager de notre constante fidélité à une compagnie qui met le client au centre de son entreprise... Non mais vraiment, le manager a même versé sa larme, je savais plus si c'était réel ou une télénovelas, on était tombé dans le comique là, voire le grotesque ! Mais bon, je me plains pas, j'ai avalé mon champagne sans alcool avant la fin du discours (si ça avait été alcoolisé, je me serais peut-être lancée dans un discours moi aussi, pour le fun, j'aurais exprimé mes remerciements au nom de la clientèle internationale qui, grâce à cette compagnie, trouvait en Bolivie confort et service client (et les boudoirs de ma grand-mère pour les goûters à la Volane)
Bon j'ai bien rigolé, mais quand même ! Une flûte de Champomy et un boudoir !!! Le luxe est mort, vive le luxe ! And so it goes in our Vanity Fair...
Au final, c'était un traitement spécial « nouvelle année » et moi j'ai dormi comme un loir dans mon fauteuil après avoir vu « indestructible » en DVD, un film qui regroupe Stallone, Schwarzeneger, Bruce Willis, JCVD, Vin Diesel, etc... C'est dire ! 
Bon bah voilà, c'était ça l'anecdote... 

J'en reviens à La Paz.
Là, j'ai eu de la chance, une amie de Montréal rencontrée au Burkina m'a donné le contact d'un ami qui vivait à La Paz et qui m'a très gentiment hébergée : après un voyage en bus de Luxe, me voilà dans un appart lumineux avec ma chambre perso et une salle de bain fonctionnelle... Quand on a goûté au luxe...
Puis je suis partie faire un tour de la ville avant de réserver, pour le lendemain, ma descente à vélo de la « route de la mort » !
On est monté à plus de 4800m d'altitude et, avec casque et combi, on a descendu la fameuse route (une des plus dangereuse au monde, mais pour les voitures surtout car très étroite et en bord de falaise) C'était génial, je vous laisse voir quelques photos !




PS: j'ai plein de photos de moi sur mon vélo et même des films, mais c'est sur un CD et j'ai pas de lecteur alors ce sera pour plus tard... C'est déjà assez compliqué comme ça!

Rurrenabaque


Rurrenabaque, c'est perdu au milieu de la forêt tropicale alors pour s'y rendre soit on fait 20h de bus super dangereux sur une piste de merde, soit on fait 1h dans un petit avion. Et quand on a goûté au luxe... Bref, j'ai pris l'avion et j'ai survolé la forêt, c'était très beau à voir ! On a atterri à 320m d'altitude, autant dire qu'après La Paz j'ai eu un choc calorifique et subit une attaque de moustiques surexcités !
Rurre (pour les intimes) c'est la base pour visiter la pampa et la jungle environnante. J'ai fait 2 jours dans la pampa et 3 jours dans la jungle : à moi les caïmans, les singes, les dauphins, les oiseaux multicolores, les tarentules, etc.
Ok, là je commence à me lasser d'écrire et j'ai envie de bouquiner alors je vais abréger. Je vous raconterez toutes mes aventures à mon retour mais les principales :

1. Je me suis assise sur une guêpe qui m'a piqué en haut du cul (ou au bas du dos, c'est selon) et maintenant ça fait mal chaque fois que je m'assoie ou que je m'allonge...
2. J'ai nagé au milieu des dauphins roses dans la rivière (tout en gardant un œil sur les berges où les caïmans se reposent) On les voyait pas arriver car l'eau était boueuse et d'un seul coup ils vous touchaient les pieds et les jambes, ce qui provoquait chez moi des hurlement de terreur/surprise... Bon ok, les dauphins c'est gentils et tout mais bon, ça surprend quand même !!
3. On a fabriqué un radeau et rejoins le campement dessus, sous des trombes de pluie et avec des vagues qui, sachant que je siégeais fièrement en à la proue de l'embarcation, m'on submergé à plusieurs reprises...
4. on a essayé de pêcher aussi. Résultat : 4h sous un soleil de plomb, avec une chaleur humide et des centaines de moustiques qui vous sucent le sang, et tout ça pour revenir bredouille. Bon les paysages étaient magnifiques mais ont été un peu vexé alors on y est retourné de nuit avec un filet et on a attrapé un gros poisson qui fut le repas du lendemain.

Hou! La vilaine bêêêêête!


Empreinte de Puma!!

La juuuungle!

Même pas (trop) peur...

je gère le radeau grave!

l'invasion des abeilles tueuses!!!!!

Pendant la pêche

les vagues!!!

Le lever du soleil sur le lac (et pêche aux piranhas)

Nage avec les dauphins (j'ai un films où on les voit bien mais c'est trop lourd)

Invasion de moustiques

Coucou au dessus de la jungle


Bon, j'en ai marre, je mets des photos, je publie et je pars bouquiner dans un hamac parce que... … parce que c'est moi qui décide, HAHAHAHA !!!


Saturday, January 12, 2013

La chevauchée sauvage

Pour vous faire patienter... désolée, j'ai que cette musique sur mon ordi qui fasse un peu western...
Sur les traces de Butch Cassidy & the Kid, à Tupiza en Bolivie:


Saturday, January 5, 2013

Les fêtes au Chili


Et me revoilà, toujours en retard. Comme le lapin dans Alice aux pays des merveilles, mais en moins stressée quand même;-)
De toutes façons vous aviez mieux à faire qu'à lire mon blog durant cette période de fêtes, hein ? Coquinous... Même si ça me désole que vous ne regardiez mon blog que lorsque vous n'avez rien de mieux à faire, mais bon, je comprends... A choisir entre boulotter des papillotes en famille ou lire un blog... Entre s'asperger de cotillon et regarder des photos de paysages... Entre soigner sa gueule de bois auprès d'un feu de cheminé et laisser des commentaires au bas d'un article... Bref, je comprends bien le choix que vous avez fait puisque j'ai fait le même, à cela près que je n'avais ni papillotes, ni famille, ni cotillons, ni cheminé... Mais comment j'ai pu passer les fêtes sans ces éléments indispensables ???
Je m'en vais vous raconter cette formidable aventure, ou "Noémie passe les fêtes au Chili".

  1. Noël

Pour la Noël, j'étais à Valparaiso, une ville portuaire du Chili à environ 1h30 de Santiago. Il faisait beau et la ville est jolie. Le centre est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, les rues sont un musée à ciel ouvert où l'art de rue est reconnu, l'histoire de la ville (que je vous épargne) est très intéressante, on peut aller à la plage en 5 min, etc. Et pour ajouter à mon plaisir, l'hostel où je dormais était vraiment sympa : lits en dortoir super confortables, propriétaires géniaux, terrasse avec vue sur la mer et la ville, douches géantes (oh pu***n ça fait du bien!!!). Les autres locataires étaient super aussi donc on a décidé de se faire un petit Noël tranquille, BBQ sur la terrasse, vin, bière et pisco sour (apéritif local, je suis fan!). Ce fut un très bon mélange, on a passé la soirée à papoter et à boire, un bon Noël quoique pas très catholique (c'est le cas de le dire).

  1. Jour de l'an

Alors là, ça devient sérieux... Un peu comme si Noël n'avait été qu'un échauffement ou une légère introduction à cette période houleuse de l'année.
Après Valparaiso, j'ai effectué 24h de bus pour me rendre à San Pedro de Atacama, un oasis au milieu du désert d'Atacama, le plus aride du monde (il paraît). J'ai pu y voir de magnifiques lagunes, des montagnes, la vallée de la lune, le désert, les couchers de soleil, oui enfin bon c'était vraiment impressionnant, j'ai adoré !!
Seulement voilà mon erreur : en arrivant à l'hostel (très chouette, mais dans un genre « moins calme » qu'à Valparaiso et c'est peu dire...) j'ai eu la mauvaise idée (ou alors en fait j'avais inconsciemment le désir de me faire remarquer... Clémence, toi qui a fait psycho, tu me diras ce que tu en penses!), j'ai donc eu la mauvaise idée (on va garder l'option consciente plutôt que subconsciente, ça me convient mieux...), j'ai donc eu la mauvaise idée de dire au staff de l'hostel que mon anniversaire était le lendemain et qu'ils n'avaient qu'à me payer une petite bière... Grave erreur !! Le lendemain, je reviens à 21H d'un tour dans les lagunes salées (où on flotte encore plus que dans la mer morte!) et là surprise, tout l'hostel est réunis autours de pizzas et de bière/pisco sour et me souhaite un joyeux anniversaire... Bon, je vais pas mentir, ça m'a bien fait plaisir, sauf que j'étais censée repartir le lendemain pour un tour à 5h du matin pour voir les geysers... Adieu Geysers et bonjour gueule de bois dans le hamac !
Bref, mon anniversaire a donc était fêté comme il se doit, nous sommes le 30 et demain c'est le jour de l'an.
Pour le jour de l'an, on a loué un pick-up avec une irlandaise (fofolle), un coréen, une autrichienne et deux allemandes pour aller voir le dernier coucher de soleil de l'année dans la vallée de la lune. C'était vraiment bonne ambiance, vin bière pisco sour (encore !! Bravo l'originalité!!), musique dans la voiture et nous voilà en train de danser dans le désert en attendant le fameux coucher de soleil... C'était une super bonne soirée (je vous laisse voir quelques photos.)
La deuxième partie de soirée a été plus que classique, je ne crois pas que ce soit nécessaire d'en faire la narration, vous avez du vivre à peu près la même chose avec les mêmes conséquences... l'originalité fut le mannequins de vieux habits que nous avons brûlé à minuit sans qu'aucun chilien ne puisse m'expliquer le pourquoi d'une telle tradition...

Mais fêtes mises à part, j'ai vraiment aimé San pedro de Atacama, les paysages de fous et tout et tout. Je vous laisse regarder ces quelques photos pour vous faire une idée, je vais en mettre plus mais ma connexion est tellement lente!

ça rafraichit

Je flotte!!!

Flamants roses

Lagune

pause....

A la votre (pisco sour time)

I believe I can fly
Nouvel an dans le désert
Salar

Valparaiso
Lagune